Comme toute nouvelle infrastructure qui s'implante dans un environnement, un projet de méthanisation va susciter beaucoup d'attention.

La qualité de l’air et les odeurs susceptibles d'être émises par le fonctionnement de l'installation font l'objet de débats récurrents, motivés par des préoccupations légitimes de préservation du cadre de vie.

Afin d’améliorer les connaissances et fournir une vision objective de l’impact de la méthanisation sur la qualité de l’air et l'environnement olfactif, le projet de recherche AQAMETHA a été mené pendant deux ans sous l’égide de la Fédération des associations de surveillance de la qualité de l’air.

L’étude s’est concentrée sur l'exposition à l'ammoniac, à l'hydrogène sulfuré et sur les odeurs, considérés comme des indicateurs clés du processus de méthanisation et la gêne principale perçue par les riverains.

Pour nous expliquer les modalités de l'étude AQAMETHA ainsi que ses résultats, nous rencontrons Kristan Cuny-Guirriec, ingénieur chez Air Pays de la Loire (Communique de presse : https://www.atmo-auvergnerhonealpes.fr/sites/aura/files/medias/documents/2024-07/20240625_AQAMETHA_VF_1.pdf) Et pour aller plus loin, retrouvez l’ensemble des résultats dans la datavisualisation mise en ligne (https://storymaps.arcgis.com/stories/8659332f19b24cf4ba29ab42d95b63b8)

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