Idée reçue N°9 : Les victimes sont toujours issues de milieux défavorisés
Contrairement aux idées reçues, les violences conjugales ne sont pas un problème de classes sociales : elles concernent aussi bien les intellectuels, les beaux quartiers, les CSP+ que les milieux populaires. Les chiffres et les témoignages le prouvent, personne n’est épargné. Magistrates, actrices, cheffes d’entreprises, médecins ou cadres supérieures… aujourd’hui, elles sont de plus en plus nombreuses à oser parler ou porter plainte, malgré la loi du silence, le sentiment de honte et de culpabilité, la peur du déclassement et de l’isolement
Pour déconstruire ce cliché, Julie Mamou-Mani est entourée de trois spécialistes de la question : Isabelle Rome, ancienne ministre déléguée chargée de l’égalité hommes/femmes, Hélène Romano, docteure en psychopathologie, droit privé et sciences criminelles, ainsi que Laurène Daycard, journaliste, autrice notamment de Nos absentes, À l'origine des féminicides.
Si vous doutez de ce que vous vivez, faites le test créé par Sarah Barukh « Suis-je victime de violences conjugales » sur www.125etaprès.org
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