Dans cette deuxième partie sur la nature du Bien et du Mal, l’exploration de ces concepts se dirigent vers l’Histoire et la philosophie des comportements humains vis-à-vis l’applications de ceux-ci dans le décorum existentiel. C’est à travers cette dualité aux apparences totalitaires et absolues que le questionnement prend naissance dans l’esprit de l’humanité, où les premiers philosophes de la Grèce antique se sont exprimés sur la causalité de nos actions et de nos réflexions, bonnes ou mauvaises. Aujourd’hui encore, les grands penseurs contemporains continuent de spéculer sur les fondements mêmes qui caractérisent la psyché humaine, dans ses instincts les plus bas et dans la noblesse de ses gestes salvateurs, où l’ultime question se pose : L’humain est-il un être fondamentalement bon, malgré un mal qui se dissimule en chacun de nous?