Antoine Roussel est l’invité de Mario Langlois cette semaine. L’ancien joueur de la LNH raconte comment il a grandi en France avec le hockey. Le seul contact qu'il avait de la LNH, c'était uniquement par cassettes VHS. Il explique même qu’il avait le syndrome de l'imposteur quand il est arrivé ici, quand il jouait dans la LHJMQ.

Dans ses confidences, Antoine Roussel raconte la fois où il s'est fait renvoyer de son équipe de rugby en France, la fois où il a failli jouer pour les Canadiens et notamment de sa visite aux installations de l'équipe à Brossard.

C’est bien connu, la ville de Dallas et Antoine ont développé une relation amoureuse professionnelle, si bien que les Stars ont même fait jouer la Marseillaise, l’hymne national de la France, après qu'il ait marqué le but qui le plaçait comme le meilleur marqueur français de l’histoire de la LNH. Enfin, il explique pourquoi on le surnomme le Rooster, mais aussi de la raison pour laquelle il n'a jamais joué de bons matchs au Centre Bell à Montréal. Écoutez-le en compagnie de Mario Langlois, Stéphane Waite et Pierre Gervais à Ça sent la coupe, édition du 7 mars 2025!

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Le directeur général du Lightning de Tampa Bay, Julien BriseBois, pour faire le point sur la date limite des transactions dans la LNH. La formation de Tampa Bay a notamment acquis du Kraken de Seattle Oliver Bjorkstrand, Yanni Gourde. Il s'agit d'un retour en Floride pour Gourde qui a été un membre des Bolts de 2015 à 2021 où il a même remporté deux Coupes Stanley. Julien BriseBois affirme au cours de cette entrevue que le retour de Yanni Gourde à Tampa Bay était un souhait qu'il chérissait depuis un certain temps.

Daniel Brière fait aussi le point sur sa deuxième période des transactions à titre de directeur général des Flyers de Philadelphie. Le Québécois explique comment il a été difficile pour lui d’échanger Scott Laughton aux Maple Leafs. Daniel a aussi échangé Andrei Kuzmenko aux Kings et selon ses dires, une transaction comme celle-ci a été faite à la dernière minute.

Mathieu Olivier a été récompensé par son équipe cette semaine. Les Blue Jackets de Columbus ont octroyé à l'attaquant un nouveau contrat de 6 ans et de 18 millions de dollars. Sa première réaction : suggérer à sa femme de magasiner une nouvelle maison. Mathieu explique que cette signature était le choix logique pour sa famille et lui. Il aborde notamment la progression impressionnante d’Adam Fantilli et la saison du tonnerre que connaît le défenseur Zach Werenski.

Le Canadien n'a pas bougé en cette date limite des transactions. Pour certains, il s'agit d'un signe de confiance de Kent Hughes envers son groupe de joueurs. Alors que pour d'autres, le Canadien n'a tout simplement pas été en mesure de trouver des joueurs pouvant répondre aux besoins de Martin St-Louis. Pour Dany Dubé, l’Avalanche a fait les plus belles transactions, tandis que Martin McGuire croit que les Stars ont réussi un coup fumant avec Mikko Rantanen.

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Comment les joueurs vivent-ils la semaine de la date limite des transactions? Le 8 mars 2006, José Théodore avait été échangé à l'Avalanche, en retour du gardien David Aebischer. L’ancien gardien des Canadiens et expert hockey au Réseau Cogeco revient sur cette période de sa vie avec Mario Langlois.

Le québécois Mathieu Olivier a été récompensé par son équipe. Les Blue Jackets de Columbus ont octroyé à l'attaquant un nouveau contrat de 6 ans et de 18M$, soulignant son rôle crucial tant sur la glace qu'en tant que leader dans le vestiaire. Écoutez Jean-Luc Grand-Pierre, depuis Columbus, discuter de l'impact d'Olivier Mathieu sur l'équipe et de la performance des Blue Jackets, qui se maintiennent dans la course pour les séries éliminatoires.

Avec le retour de Yanni Gourde à Tampa Bay, est-ce qu'il faut maintenant placer le nom du Lightning dans les équipes les plus dangereuses pour les séries? Antoine Roussel croit encore à un coup de maître de Julien Brisebois.

De plus en plus d'équipes servent de 3e joueurs dans les transactions, en raison du plafond salarial: est-ce rendu une norme? Le journaliste à TheAthletic.com, Arpon Basu, analyse ce phénomène croissant dans la LNH.

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