Ancient French History

In today’s modern world, every political regime, even the most authoritarian or repressive, describes itself as democracy or a democratic people’s republic. The concept of rule by the people and on behalf of the people has come to be accepted as the norm. Very few would overtly espouse the cause of dictatorship, absolute monarchy, or oligarchy as the most desirable political system upon which to base the government of any country.

Rome, première puissance à dominer le bassin méditerranéen.Une conquête fulgurante - Au III° siècle avant Jésus-Christ, quatre puissances dominent la Méditerranée : Carthage, la Macédoine, l'Égypte et la Syrie. Rome n'est alors qu'une cité dans une péninsule encore divisée. Un siècle plus tard tout est bouleversé, les guerres puniques (264-246 av. J.-C.) font de Rome la première puissance à régner sans partage sur l'ensemble du bassin méditerranéen.

Ce livre traduit en français couvre le sujet du langage métaphysique des représentations/images des hiéroglyphes égyptiens- le langage de l’esprit/de l’intellect/du divin, les réalités scientifiques/métaphysiques des images pictographiques (hiéroglyphes) comme le moyen ultime pour la conscience humaine qui interprète, traite et garde les significations de telles images.

Qui n’a pas déjà son idée toute faite sur la situation des femmes de l’Antiquité grecque ? Les Athéniens – et les autres Grecs aussi, d’ailleurs – seraient forcément misogynes puisqu’ils sont réputés avoir exclu les femmes de leur cité. Ils les auraient reléguées dans l’espace privé de la maison. Dans cet entretien, l’historienne interroge cette affirmation car la recherche récente, tant en sciences sociales et en sciences de l’Antiquité permet de réévaluer l’attitude des sociétés antiques envers les femmes et, plus généralement, les rapports que les femmes et les hommes entretenaient.

"Mythologie Grecque et Romaine : Héros et Demi-Dieux". Conçu comme un guide destiné au plus grand nombre, cet ouvrage avait pour sous-titre "Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes." L'objectif de son auteur, Jean Humbert, était d'écrire un livre "qui pût instruire sans ennui, qui fût clair avec décence, où la narration s'animât, et où l'unité de récit, ce point capital, ne fût pas sacrifiée." Il en résulte un ouvrage qui fait aujourd'hui figure de référence en la matière, complet, abordable mais érudit à la fois.

Les héros étaient, selon les idées des païens, des hommes nés soit d'un mortel et d'une déesse, soit d'un dieu et d'une mortelle ; par cette raison, on les appelait aussi demi-dieux. Doués, la plupart, d'une force extraordinaire et d'un grand courage, ils parcouraient la terre et principalement la Grèce.

Les Barbares ont une drôle de réputation. Les penseurs de la Renaissance leur imputent le naufrage de la seule véritable civilisation : Rome. Les historiens du XIXe siècle leur octroient volontiers l'origine des nations européennes : les Angles n'ont-ils pas donné leur nom à l'Angleterre, les Francs à la France ?

Néron : l'excellence de ses conseillers (Sénèque et Tacite) n'a pas suffi à empêcher l'émergence d'un empereur fou, criminel et pervers. Il fit assassiner sa propre mère, et causa la mort de sa femme Poppée ; il ordonna qu'on torture et exécute ses rivaux ; après l'incendie de Rome, il sut aussi dévier la colère du peuple en lui offrant un autre objet de suspicion : les chrétiens. Leur persécution fut épouvantable : jetés aux lions, ou crucifiés et brûlés vifs en guise de flambeaux, ils furent le bouc émissaire de tout un peuple.

Caligula : tyran épouvantable et énigme irrésolue. Après un début de règne prospère et paisible, cet Empereur fut pris d'un revirement soudain, pour se montrer d'une cruauté allant jusqu'au sadisme. Il commit l'inceste avec ses sœurs, menaça de nommer son cheval consul pour humilier ses opposants politiques, accumula assassinats et exils avec un plaisir non dissimulé, tout en menant des projets d'une extravagance incroyable.

Épictète est né dans la servitude. Il est boiteux, dort sur une paillasse, et pourtant c'est l'homme le plus libre de Rome. On le dit même plus heureux que l'Empereur... Au soir de sa vie, Leibniz, génie universel, avait achevé de décrire l'univers. Mais aux yeux de son jeune ami Théodore, la question du mal restait incompréhensible : pourquoi les hommes peuvent-ils commettre de si grands crimes ? Répondre à cette question, c'était plonger dans la pensée même de Dieu...

Socrate va par les rues d'Athènes, interpellant ceux qu'il trouve sur son chemin : Connais-toi toi- même ! Ne te soucie pas des richesses, cherche la vérité et deviens philosophe ! Ce n'est pas du goût des Athéniens. Au terme d'un procès, Socrate est condamné à boire la ciguë. Va-t-il s'enfuir ? Un philosophe doit-il craindre la mort ? Par une froide nuit d'hiver, alors que toute la ville était plongée dans la torpeur, Monsieur Descartes doutait : Se pourrait-il que trois et deux ne fassent pas cinq ? Que le monde, finalement, soit un rêve ?

"Mythologie Grecque et Romaine : Dieux du second ordre". Conçu comme un guide destiné au plus grand nombre, cet ouvrage avait pour sous-titre "Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes. "L'objectif de son auteur, Jean Humbert, était d'écrire un livre "qui pût instruire sans ennui, qui fût clair avec décence, où la narration s'animât, et où l'unité de récit, ce point capital, ne fût pas sacrifiée. "Il en résulte un ouvrage qui fait aujourd'hui figure de référence en la matière, complet, abordable mais érudit à la fois.