Canadian Fiction

When love turns to hate - that's where I come in. I'm Halton Andrew Smithers, attorney. Hal to my clients and friends. Messy divorces, deadbeat dads, runaway wives, cheating partners - I handle them all. I know the seedy side of love, and it isn't pretty. I avoid emotional attachments - I've seen all too often when hot passion turns to frozen tundra. I satisfy myself with helping people behind the scenes. It gives me a sense of satisfaction that completes my life. Until she enters it and everything I believe is turned upside down. She fills a void I never knew existed.

Moi: J’ai des petites nouvelles pour toi! Tu vaux rien du tout! T’es un microbe! Une fourmi! Un virus! UNE BACTÉRIE!!! Émile le débile: Ouuuuuh… ça me touche, ce que tu me dis. J’ai de la grosse pe-peine. Je vais presque me mettre à pleurer. Moi: Je m’en fous! Je suis juste ben contente que ma cousine ait compris quel genre de gars tu es. Et je vais m’assurer que toutes les filles qui te croiseront le sachent, elles aussi!

Mitchell’s novel follows Brian O’Connal, a young boy growing up in Depression-era Saskatchewan. Curious and eager to explore the impossibly vast Canadian prairie, Brian guides the listener through the inner workings of his small, rural town and its quirky characters. As Brian grows up, navigating faith, loss, and his relationships with his grandmother and his friends, we see him evolve alongside the changing landscape of small-town Canadian life.

Maxx Reynolds needs help. His shop, house, and life are all in a state of disarray. In desperation, he turns to the internet to hire a new employee, thinking it will make his life easier. What he expects is a fellow named Charly. What he gets is a quirky, sassy redhead named Charlynn who runs circles around him. And she's all woman. He can't stand her. He can't keep his hands off her, either.

Enfin, Nadeige et Émy ont fait la paix. Ce que les filles souhaitent par-dessus tout, désormais, c’est passer le plus de temps possible ensemble. Mais la semaine de relâche se pointe le bout du nez et les parents de Nad ont prévu de partir dans le Sud...sans leur fille! Non seulement celle-ci ne pourra pas les accompagner, mais ils l’enverront à l’autre bout du monde, chez une amie de la famille qui vit à la campagne. La joie! Sans compter que cette dernière cache un lourd secret....

L’ambiance n’a jamais été si tendue entre les BFF. Bien décidée à se racheter auprès de sa best, Émy-Lee est prête à TOUT pour se faire pardonner. Et ce ne sont pas les idées qui manquent ! Malheureusement, la position de Nadeige est claire à ce sujet : jamais elle ne passera l’éponge !

Yohan: Je suis super content de te revoir. Me semble que ce serait le fun d’apprendre à se connaître... Moi: C’est parce que j’ai un chum! Yohan: Hé, pas de panique. Je n’ai pas dit que je voulais te demander en mariage. On pourrait juste échanger nos numéros de téléphone, pour commencer...

Colin : Alors...vous vous êtes embrassés ? C’est fait ? Tu sors avec Lancelot ? Moi : Hein ? L’embrasser ? Colin : Je veux dire...c’est évident que ça allait se passer, vu la façon dont il te regarde. Moi : Ah ouin ? La façon dont il me regarde ? Colin : Allez, ne fais pas semblant que tu n’as rien vu ! En plus, il rit à toutes tes blagues, même si elles sont plates ! C’est un signe, ça....

Moi : En tout cas, tu vas être content, puisque je m’en vais dans deux jours ! Tu me verras plus et je serai plus là pour me mêler de tes affaires ! Colin : Génial ! Moi : Super ! Il est allé s’enfermer dans sa chambre en claquant la porte et moi...moi, je suis restée là, les bras ballants, sans savoir quoi faire. Je n’avais pas d’endroit où aller pour me calmer et pour reprendre mes esprits. Ou pour pleurer....

Relentless phone calls interrupt the peace of a warm August morning in Three Pines. Though the tiny Québec village is impossible to find on any map, someone has managed to track down Armand Gamache, head of homicide at the Sûreté, as he sits with his wife in their back garden. Reine-Marie watches with increasing unease as her husband refuses to pick up, though he clearly knows who is on the other end. When he finally answers, his rage shatters the calm of their quiet Sunday morning.

Colin me faisait dos et refusait de tourner la tête vers moi. Il n’avait pas non plus le courage de venir me parler. Alors comment je pouvais réagir, hein? J’ai crié après lui sans pouvoir me retenir. Et je lui ai dit à peu près ceci.... Moi (les larmes aux yeux): Tu pourrais au moins me regarder, il me semble! Espèce de...espèce de lâche!

Beth Thatcher returns home from her first year as a schoolteacher in the mining town of Coal Valley and steps into a whole different world. Her life back among her wealthy Eastern family is a stark contrast to her primitive life in the West, and Beth isn't sure where she belongs anymore. She barely has time to settle in before her mother announces plans for a family holiday - a luxurious steamship tour along the eastern coast of Canada and the U.S.

Christine and her older brother, Henry, grew up in the Delaney family as loved and nurtured as if they had been born to Elizabeth and Wynn. Now adults, they are ready to make new lives for themselves. Henry has found love and is planning a wedding. Christine is delighted for her brother, but she is still carrying scars from a broken relationship. And the war in Europe causes uncertainties at every turn, while the Northland still calls to her heart.

Years ago, Wynn and Elizabeth Delancy adopted Christine and Henry. Now Christine has moved to a nearby city. Working as a secretary in a prosperous company, she is drawn to her employer's handsome son. Henry has joined the Canadian Mounties, where one of his first duties is to help a young widow and her infant. In their new lives, as new relationships grow, can Christine and Henry still draw on the faith they have learned from their parents?

Ça y est, Ti-Guy quitte sa famille pour participer à un stage de soccer en France. À la suite de son premier entraînement, on lui annonce une nouvelle surprenante. Une nouvelle qui risque de changer ses objectifs! Loin de se laisser décourager par le défi qui l’attend, Ti-Guy décide de fournir encore plus d’efforts. Si tout se passe bien, peut-être entendra-t-il la foule scander: Allez, les verts!

Croyez-le ou non, malgré les terribles événements qui ont perturbé la première semaine de cours, la session d'automne s'est poursuivie comme si de rien n'était au cégep de Malphas. On a même eu droit, au département de littérature, à un nouveau collègue, Michel Condé, qui a décidé de fonder un club de lecture. Je m'y suis aussitôt inscrit : quoi de mieux qu'une activité littéraire normale et tranquille pour oublier ce que j'ai vécu depuis mon arrivée à Saint-Trailouin ?

Depuis qu’il a pris la tête de la société immobilière de son père, Daniel Saul est devenu l’un des hommes d’affaires les plus riches du Québec. Dans la jeune quarantaine, beau, fonceur, intelligent et sans pitié pour la concurrence et les losers, Daniel a tout pour lui et ne se gêne pas pour prendre le reste. Quand Martin Charron, un financier et ancien confrère de collège, lui propose de devenir membre de Hell.com, un site Internet secret où tout–mais vraiment tout !–est possible pour ceux qui le fréquentent, Daniel sait qu’il ne pourra refuser de s’inscrire.

Quatre femmes, quatre époques, quatre destins tragiques. Katia Gagnon nous surprend avec un roman sombre, aux tonalités fantastiques et au suspense haletant. Il y a d’abord Thérèse, dans les années 1990, qui soudain voit surgir de son passé un être qui viendra l’aider à se libérer enfin d’un fardeau qu’elle porte depuis des années. Il y a Michèle qui, à la faveur de la révolution sexuelle des années 1970, veut réinventer la vie, le couple, et oublier la mort que quelqu’un a déposée au plus profond de son être quand elle était toute petite.

Ce roman raconte l'histoire d'Almanda Siméon, une orpheline amoureuse qui va partager la vie des Innus de Pekuakami. Elle apprendra l'existence nomade et la langue, et brisera les barrières imposées aux femmes autochtones.

Je m'appelle Julien Sarkozy. Oui, oui, je me prénomme bien Julien ! Professeur de littérature, j'étais fin prêt il y a quelques jours pour ma première session au cégep de Malphas. Le directeur pédagogique, Rupert Archlax, m'avait annoncé que j'aurais trois groupes dans le cours 102. Comme c'est celui qui se donne pendant la session d'hiver et que nous étions en août, j'avais tout de suite compris que mes élèves seraient ceux qui avaient coulé le cours à la dernière session.