Canadian Fiction

Nous sommes en 1938. Ce troisième tome nous plonge en plein drame alors que le magasin général Marquis, au cœur du village de Sainte-Cécile, est la proie des flammes. Le sinistre aura un impact majeur sur les Gélinas qui, faisant preuve de charité chrétienne, offrent d’héberger la famille Marquis le temps que le commerce se reconstruise. La cohabitation ne sera pas de tout repos!

Happily retired in the village of Three Pines, Armand Gamache, former Chief Inspector of Homicide with the Sûreté du Québec, has found a peace he'd only imagined possible. On warm summer mornings he sits on a bench holding a small book, The Balm in Gilead, in his large hands. "There is a balm in Gilead," his neighbor Clara Morrow reads from the dust jacket, "to make the wounded whole." While Gamache doesn't talk about his wounds and his balm, Clara tells him about hers. Peter, her artist husband, has failed to come home. Failed to show up as promised on the first anniversary of their separation. She wants Gamache's help to find him. Having finally found sanctuary, Gamache feels a near revulsion at the thought of leaving Three Pines. "There’s power enough in Heaven," he finishes the quote as he contemplates the quiet village, "to cure a sin-sick soul." And then he gets up. And joins her.

Dans cette nouvelle aventure, le jeune porteur de masques fait le plus étrange de tous ses voyages. Prisonnier de la pierre, Amos devra aller au-delà du monde physique pour plonger dans le monde spirituel. Cet endroit, hors du temps et de l'espace, se trouve à l'intérieur de tous les êtres humains, et les relie par une source infinie d'énergie à la Dame Blanche. C'est précisément là que réside l'élément indispensable à l'unification des masques de puissance: l'éther.

Alexandre Trudeau se questionne. Sa femme semble s'être lassée de lui; ses enfants le considèrent comme un primate d'une autre époque, bon qu'à payer les comptes; sa carrière de journaliste stagne et manque de piquant. Tel un passager resté sur le quai, il regarde défiler sa vie, les mains dans les poches. Comment en est-il arrivé là?

A tour-de-force debut novel about a Two-Spirit Indigiqueer young man and proud NDN glitter princess who must reckon with his past when he returns home to his reserve. “You're gonna need a rock and a whole lotta medicine” is a mantra that Jonny Appleseed, a young Two-Spirit/Indigiqueer, repeats to himself in this vivid and utterly compelling debut novel by poet Joshua Whitehead.

Canadian Jim Armstrong married in haste during the Second World War after a one-night stand. When his wife and their small son join him in Canada, it's four years since they've seen each other. War bride Joan discovers Jim has no intention of the family returning to England. She struggles to adapt to life on a remote farm in Ontario, far from her family and cold-shouldered by Jim's mother. Jim, haunted by his wartime experiences in Italy, Iingering feelings for a former lover, and the demands of the farm, begins to doubt his love for Joan.

Institutrice dans une humble école de rang de Saint-Tite, Émilie s'éprend d'un de ses élèves, Ovila Pronovost, à qui elle finit par unir sa vie, pour le meilleur et pour le pire.

La vie n'est pas facile pour les femmes de la famille Beauséjour. En effet, c'est au tour de Rose, la fille de Victorine, de subir les misères du destin qui lui est imposé. Seule fille parmi une fratrie de garçons, Rose comprend bien vite que les hommes détiennent tous les privilèges et que le sort des femmes est de se soumettre aux caprices de la bienséance, dictée par la société.

The final novel from Richard Wagamese, the best-selling and beloved author of Indian Horse and Medicine Walk, centres on an abused woman on the run who finds refuge on a farm owned by an Indigenous man with wounds of his own. A profoundly moving novel about the redemptive power of love, mercy, and compassion - and the land's ability to heal us.

Il s''appelle Michaël Walec et il rêve de publier un roman noir—un bon, un vrai! Alors depuis trois ans, le soir, après avoir donné ses cours de français aux détenues de l''Établissement Joliette pour femmes, il bûche sur son manuscrit. Et quand il visite les Salons du livre, il se dit que, un jour, lui aussi fera partie de la grande famille des écrivains.

Lucie aimerait bien mener une vie de petite mouffette normale. Mais ce n’est pas facile de te faire des amis quand tu pètes dès que tu ris. Tu ne peux pas écouter leurs blagues ni jouer avec eux, puisque tu dois toujours te retenir de rire. Et une vie sans jamais rire, c'est pas une vie!

Un ourson qui retrouve son âme après une lutte acharnée, mais invisible. Un petit garçon qui a perdu sa maman, son papa, et sa Boucle d’or chérie. Une famille accueillante, mais troublée, qui ne voit pas l’entité noire planer au-dessus d’elle. Un ogre qui attend, depuis trop longtemps, l’arrivée du Petit Poucet dans sa contrée... L’ombre du Mal, qui veille toujours, a jeté son dévolu sur le jeune Bastien. Patiente, elle attend le bon moment pour serrer l’enfant entre ses griffes. Ensuite, elle pourra enfin mettre sa vengeance à exécution.

En 1996, une adolescente de seize ans accouche d’un garçon dans l’anonymat d’un hôpital de Montréal. Autour d’elle retrace vingt ans des vies de Florence Gaudreault et de son fils biologique à travers le prisme d’une vingtaine de personnages qui ont croisé leurs chemins et qui racontent, chacun à leur tour, leur propre histoire.

Lorsque sa nourrice lui racontait l'histoire de Peau d'âne, le jeune Louis XIV était incapable de trouver le sommeil. Imaginez si on lui avait lu cette version revisitée, dans laquelle la jeune fille n'a rien de passif et d'ingénu comme celle du conte de Perrault....

Ru. In Vietnamese it means lullaby; in French it is a small stream, but also signifies a flow - of tears, blood, money. Kim Thúy's Ru is literature at its most crystalline: In vignettes of exquisite clarity, sharp observation, and sly wit, we are carried along on an unforgettable journey from a palatial residence in Saigon to a crowded and muddy Malaysian refugee camp, and onward to a new life in Quebec. There, the young girl feels the embrace of a new community, and revels in the chance to be part of the American Dream.

…Un homme au bord du gouffre à la recherche d’un vieil ami disparu. La dangereuse manie d’un maître chanteur à se faire trop d’ennemis pour son propre bien. L’obsession d’un peintre misanthrope reproduisant la même toile, encore et encore. Un neurochirurgien retraité fasciné par la cryptozoologie et qui préfère vivre en marge de la société. La légende d’un cavalier fantôme hantant depuis des siècles le pittoresque village de Val-Dormant…

Audrey Mercier apprivoise difficilement le fait d'être la nouvelle amoureuse du merveilleux Milan O'Neill. Lorsque la réalité la frappe de plein fouet, son manque de confiance et sa peur de ne pas être à la hauteur la font constamment douter. Lui à Edmonton, elle à Montréal, pas facile de vivre un amour à distance, surtout quand notre petite voix ne cesse de nous faire peur et de nous mettre en garde. En plus d'essayer de gérer sa propre vie amoureuse, Audrey doit se ressaisir et tenter de guider sa fille, Félicia, qui est envahie par de nombreux questionnements.

La pièce Les belles-sœurs de Michel Tremblay est née le 4 mars 1968 lors d'une lecture publique dans un minuscule théâtre de la métropole. Cinquante ans après sa création, le journaliste Mario Girard raconte l'histoire qui a entouré la naissance de cette oeuvre majeure de la dramaturgie québécoise. À partir de témoignages, de documents d'archives et de photographies, on découvre comment, un jour de 1965, l'idée est venue au jeune Tremblay d'écrire une pièce en joual rassemblant 15 femmes dans une cuisine autour d'un million de timbres-primes Gold Star.

Saint-Côme, 1903. Victorine a tout pour être heureuse. L'aînée des trois sœurs Gaudet est jeune, jolie et folle d'amour pour Maxime Beauséjour. Lorsque ce dernier lui propose de l'épouser, la jeune fille est aux anges. Elle imagine déjà leur futur logis rempli d'enfants, de rires et de chansons.

Le rêve brisé que je traîne derrière moi: le ballet. Je m’appelle Sarah et, autrefois, j’en faisais. Oh, je danse toujours...mais nue. Dans un bar. Ça reste de la danse. Voilà ce que je me répète sans cesse pour ne pas m’écrouler, pour tenter d’oublier à quel point ma vie est misérable.... En plus, je dois de l’argent à Carl, mon patron. Cinq mille dollars! Où vais-je bien pouvoir trouver une telle somme?