French Short

Contes du voyant est un recueil des meilleures histoires publiées par le voyant. L’objectif est de rassembler dans un texte l’aide nécessaire pour une analyse de la vie et un remplacement positif, même en cas d’échec.

Bonjour. Mon nom est John Pebberton, et je suis sûr que la plupart d'entre vous n'ont pas la moindre idée de qui je suis. Oh ne vous inquiétez pas, à la fin de mon histoire tout le monde saura mon nom. Le conteur de la "mystérieuse histoire de Bethléem". "Encore une histoire de petit Jésus ?!", me direz-vous... "Une de plus", soupirerez-vous... en réfléchissant déjà à comment éviter cette corvée, une énième répétition de l'aube dorée de notre bonne vieille religion chrétienne... Et bien détrompez-vous !

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale.

Ingeborg Bachmann a près de 30 ans lorsqu'elle écrit cette nouvelle. Le personnage qu'elle met en scène a vécu jusqu'ici "sans s'en faire". "Jamais il n'a pensé que pût être prononcé le mot décisif, et que le jour viendrait où il devrait montrer ce qu'il savait faire et penser, où il serait forcé d'avouer ce qui lui tient vraiment à cœur." Le jour vient pour lui de faire l'expérience de la douleur. Puis, de brisure en brisure, celui qui va sur ses trente ans arrive enfin au terme de son accomplissement.

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale.

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale. Pourtant, ces instants cruciaux ne sont dus qu'à cette chance ou malchance que nous avons tous d'étre confrontés au meilleur comme au pire.

Pierre Bellemare trouve dans les récits du XIXe, publiés pour bon nombre d'entre eux dans les revues et les journaux de l'époque, l'occasion de nous faire réentendre une voix qu'on associe volontiers à l'esprit de la narration populaire.

Au nom de Pierre Bellemare, c'est tout un cortège d'histoires vraies qui surgit en séquences inoubliables. Bellemare c'est un monument et c'est un mémorial. Par la voix, par la plume et par l'image, le plus célèbre conteur français nous invite au grand film de la vie. Du rose au noir, de la joie au désespoir, c'est l'histoire de notre temps qu'il restitue, sans artifice, dans de nouvelles histoires.

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale. Pourtant, ces instants cruciaux ne sont dus qu'à cette chance ou malchance que nous avons tous d'étre confrontés au meilleur comme au pire.

Au nom de Pierre Bellemare, c'est tout un cortège d'histoires vraies qui surgit en séquences inoubliables. Bellemare c'est un monument et c'est un mémorial. Par la voix, par la plume et par l'image, le plus célèbre conteur français nous invite au grand film de la vie. Du rose au noir, de la joie au désespoir, c'est l'histoire de notre temps qu'il restitue, sans artifice, dans de nouvelles histoires.

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale. Pourtant, ces instants cruciaux ne sont dus qu'à cette chance ou malchance que nous avons tous d'étre confrontés au meilleur comme au pire.

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale.

Au nom de Pierre Bellemare, c'est tout un cortège d'histoires vraies qui surgit en séquences inoubliables. Bellemare c'est un monument et c'est un mémorial. Par la voix, par la plume et par l'image, le plus célèbre conteur français nous invite au grand film de la vie. Du rose au noir, de la joie au désespoir, c'est l'histoire de notre temps qu'il restitue, sans artifice, dans de nouvelles histoires.

Florence Delay nous entraîne dans une délicieuse promenade au château de Fontainebleau, au temps de la cour de France de François 1er à celle d'Henri IV, pour donner vie et parole aux déesses, Diane chasseresses, nymphes et dames qui l'habitent, peintes et sculptées par les artistes italiens Rosso et Primatice. Empruntant l'art et la manière de Marguerite de Navarre, dont elle a lu et relu "L'Heptaméron", Florence Delay nous fait revivre, de tableau en tableau, toute la beauté de la Renaissance.

La Provence, c'est pour Daudet une certaine réalité morale, dont il dégage l'originalité. Cette réalité c'est, par-delà la pauvreté et la rudesse de ces existences, un goût méditerranéen de la vie. C'est aussi, par contraste avec la futilité des sentiments parisiens, un relief dû à la puissance des passions qui animent le peuple : passion de Maître Cornille acharné à nier le temps présent et à maintenir malgré tout son moulin en activité ; passion naïve et têtue de Blanquette, la petite chèvre, pour la liberté et le grand mystère de la montagne.

Avec ce tome 3 : "Les Belles Histoires de Véronique : Raconte-moi une histoire avec ta bouche" deviennent une trilogie d'histoires courtes et inoubliables pour les enfants de 4 à 8 ans. Dès les premières phrases Véronique Meurou arrive à capter l'attention des petits auditeurs et fait galoper leur imagination au gré d'aventures surprenantes peuplées de gentils dragons, de fées inventives et d' animaux espiègles.

Le coeur de Sitka bat fort, jusqu’à lui offrir cent vies. Dans ses veines, un sang infusé de tourbe et de conifères, du souvenir d’un océan, d’une reine fragile à protéger. Piégée, volée, la chienne-louve court, fuit, cherche sa meute aimée, formée d’un homme et d’une petite. Sinueux est le chemin qui la mènera de l’autre côté de la peur, de l’autre côté du continent.

Au nom de Pierre Bellemare, c'est tout un cortège d'histoires vraies qui surgit en séquences inoubliables. Bellemare c'est un monument et c'est un mémorial. Par la voix, par la plume et par l'image, le plus célèbre conteur français nous invite au grand film de la vie. Du rose au noir, de la joie au désespoir, c'est l'histoire de notre temps qu'il restitue, sans artifice, dans de nouvelles histoires.

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale.

Une année, douze mois. Douze chapitres ou douze nouvelles. Un ou douze récits. Ils sont deux, un homme et une femme. Un an, une vie.