French Short

Quand Todd a acheté sur un coup de tête une bague à 78 000 dollars à Erica, il ne se doutait pas que leur mariage ne durerait que deux ans. Tenter de récupérer le bijou lui coûtera peut-être bien plus cher que sa mise initiale.

"Quand la vie des hommes est incroyable et dépasse l'imagination, on rêve de pouvoir la fixer pour l'observer et la méditer à sa guise. Pour cela, les photographes ont le 1/1000 de seconde, les cinéastes disposent du ralenti, les conteurs ont la mémoire du temps qui passe et les écrivains le livre."

"Observez perpétuellement, observez l'inquiétude, la déconvenue, la venue de l'âge, la bêtise, vos propres abattements, mettez sur le papier cette seconde vie qui inlassablement se déroule derrière la vie officielle, mélangez ce qui fait rire et ce qui fait pleurer", conseille Virginia Woolf. C'est ce que fait admirablement Geneviève Brisac dans ce roman-mosaïque dédié aux femmes. À deux voix, l'auteure et Alice Butaud lisent neuf de ces cinquante-deux histoires.

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale.

Florence Delay nous entraîne dans une délicieuse promenade au château de Fontainebleau, au temps de la cour de France de François 1er à celle d'Henri IV, pour donner vie et parole aux déesses, Diane chasseresses, nymphes et dames qui l'habitent, peintes et sculptées par les artistes italiens Rosso et Primatice. Empruntant l'art et la manière de Marguerite de Navarre, dont elle a lu et relu "L'Heptaméron", Florence Delay nous fait revivre, de tableau en tableau, toute la beauté de la Renaissance.

C'est faire justice aux "Lettres de mon moulin" que de les donner à entendre au public adulte auquel elles étaient initialement destinées. C'est également réhabiliter Alphonse Daudet, conteur prodigieux et figure particulièrement attachante du XIXe siècle. Par l'habile procédé de la correspondance, Daudet dresse dans ces "Lettres" le tableau d'une terre luxuriante, source d'intarissables émerveillements pour une âme de poète.

Cet audio comprend : Les haricots de Pitalugue, Communion au village, Le linot aveugle.

"Quand la vie des hommes est incroyable et dépasse l'imagination, on rêve de pouvoir la fixer pour l'observer et la méditer à sa guise. Pour cela, les photographes ont le 1/1000 de seconde, les cinéastes disposent du ralenti, les conteurs ont la mémoire du temps qui passe et les écrivains le livre."

"Quand la vie des hommes est incroyable et dépasse l'imagination, on rêve de pouvoir la fixer pour l'observer et la méditer à sa guise. Pour cela, les photographes ont le 1/1000 de seconde, les cinéastes disposent du ralenti, les conteurs ont la mémoire du temps qui passe et les écrivains le livre."

Peut-on se satisfaire d'une vie quelconque, d'un métier qu'on ne déteste pas et d'un mari qui "fera l’affaire" ?

Ariane Ascaride et Roland Giraud relèvent un défi bien plus compliqué qu'il n'y paraît dans cette interprétation : ils font apparaître l'au-delà du conte, ils révèlent la profondeur de cette prose. La finesse avec laquelle ils s'emparent de la dimension orale des "Lettres de mon moulin" n'en fait que mieux ressortir le travail stylistique et rythmique de Daudet, qui sort pleinement accompli de cet enregistrement." Claude Colombini & Benjamin Goldenstein

Cet appel qui risque de tout changer, il l'attend mais le redoute terriblement. Sa vie part déjà en morceaux, et le peu qu'il en contrôle va certainement lui échapper bientôt. Est-il encore seulement temps de s'enfuir ?

Ils sont faits l'un pour l'autre, sont plongés dans un bonheur sans borne. Ils partagent tout, de leur passion pour la musique à leurs sentiments...

Au nom de Pierre Bellemare, c'est tout un cortège d'histoires vraies qui surgit en séquences inoubliables. Bellemare c'est un monument et c'est un mémorial. Par la voix, par la plume et par l'image, le plus célèbre conteur français nous invite au grand film de la vie. Du rose au noir, de la joie au désespoir, c'est l'histoire de notre temps qu'il restitue, sans artifice, dans de nouvelles histoires.

"Dans la liste des précautions oratoires, celle-ci occupe une place à part. Elle souhaite jouer la surprise par sa forme, une vulgarité appuyée qui aurait pour mission de gommer à l'avance le pire des soupçons : une pensée réactionnaire. L'interlocuteur ne doit pas se récrier avant la remarque promise. Mais une petite réticence aux commissures des lèvres signifiant "Toi, passer pour un vieux con !?" semble bienvenue. Elle était espérée."

Cette nouvelle inédite met en scène Polly qui a coutume de voler les gens qui l'ont contrariée. Jusqu'au jour où, humiliée et épouvantée par un parfait inconnu, elle réagit comme elle l'a toujours fait. Mais jamais elle n'aurait pu imaginer que son désir de vengeance aurait des conséquences aussi terrifiantes.

Voici de nouvelles histoires où le hasard est roi. Pour être juste, personne n'a vu le hasard dans aucune de ces histoires. Chacun a imaginé une cause correspondant à sa philosophie de l'existence : Dieu bien sûr, qui voit tout, prévoit tout, de toute éternité ; la fatalité qui rejoint le destin pour basculer plus aisément dans l'horreur ; la vie, le milieu, l'éducation, l'enfance meurtrie qui inconsciemment nous guident vers cette confrontation fatale.

Pourquoi sommes-nous si malheureux quand l'incertitude nous assaille ? Presque vingt ans après leur séparation, Paul et Rebecca se revoient et réalisent qu'il n’y a pas que les années qui les ont séparés. Leurs retrouvailles seront de courte durée.

"Quand la vie des hommes est incroyable et dépasse l'imagination, on rêve de pouvoir la fixer pour l'observer et la méditer à sa guise. Pour cela, les photographes ont le 1/1000 de seconde, les cinéastes disposent du ralenti, les conteurs ont la mémoire du temps qui passe et les écrivains le livre."

Arnie habite un ennuyeux pavillon de banlieue avec sa femme et son fils. Il n'y avait jamais vraiment pensé, mais quand il se retrouve avec 10 000 dollars en poche, il se rend compte que cette somme lui suffira pour changer de vie.