Soviet Fiction

"I am a sick man.... I am a spiteful man", a nameless voice cries out. And so, from underground, emerge the passionate confessions of a suffering man; the painful self-examination of a tormented soul; the bristling scorn of a lonely individual who has become one of the greatest anti-heroes in all literature.

Acclaimed author and historian Alan Furst has written several historical fiction novels, such as Blood of Victory and Kingdom of Shadows. In Dark Star, André Szara is a Polish journalist who becomes a spy for the Soviet Union in the late 1930s. Through Szara’s character, the beginnings of World War II are revealed.

Tom Clancy returns to Jack Ryan's early days, in an extraordinary new novel of global political drama. Ryan's first days on the job at the CIA put him into a high-stakes game, playing for the life of the Pope and the stability of the Western world.

Danny Jabo returns to sea, this time as second-in-command of a Trident submarine, the USS Maine. An international arms treaty makes the crew prepare for a once unthinkable level of cooperation with the Soviets, but the Maine's real enemy is an adversary no one saw coming.

Russie, début du XIXe siècle. À l'Ouest de l'Empire, les guerres napoléoniennes font rage et se rapprochent dangereusement des frontières. De Moscou à Saint-Pétersbourg, la noblesse et la grande bourgeoisie vivent inconscientes du danger, et organisent dîners et bals. Ainsi le comte Rostov qui s'apprête à célébrer la fête de sa fille Natacha ; du prince André Bolkonski et de sa jeune épouse, Lise, enceinte.

Many of the greatest Russian authors, including Dostoevsky, Tolstoy, Chekhov, and Pushkin, produced crime and mystery fiction, a type of literature that was largely suppressed during the Soviet era because it did not glorify the state, but rather, gave significance to individual characters. With the fall of the Soviet Union, mystery writers have become some of the most successful novelists in Russia, and there is a renewed interest in, and appreciation of, the great crime classics of an earlier era. This volume is the first collection ever devoted entirely to Russian crime fiction.

À la suite du traité de Tilsit, la paix semble à nouveau s'établir durablement en Europe. Et chacun de retourner à ses occupations d'avant-guerre. Les bals, les fêtes, l'insouciance des vies reprennent de plus belle, d'autant que beaucoup ont vu la mort de près et sont revenus auréolés de gloire. Les alliances entre les familles se nouent et se dénouent au gré des amours. Chacun pousse ses pions pour trouver le bon parti au mépris des autres même de ses anciens camarades de guerre.

Anna Karénine est une jeune femme mariée à Alexis Karénine et mère d'un jeune garçon. Elle se rend à Moscou chez son frère Stiva Oblonski. En descendant du train, elle croise le comte Vronski. Anna tombe amoureuse de Vronski, cet officier brillant, mais frivole. Elle lutte contre cette passion et finit pourtant par s'abandonner avec un bonheur coupable. Puis Anna tombe enceinte. Elle décide d'avouer son infidélité à son mari.

1812. Napoléon rompt brutalement la paix avec la Russie. Les russes, pris de court, n'ont d'autre choix que de se retirer précipitamment, évitant tout contact avec l'ennemi. Finissant, sous la houlette de Koutousov, par se réorganiser, ils livrent la plus terrible des batailles de l'épopée napoléonienne : la victoire de la Moskowa pour les uns ou de Borodino pour les autres, faisant plus de 70.000 morts dont beaucoup d'officiers, de généraux, de maréchaux renommés et laissant la grande armée de Napoléon exsangue et épuisée.

L'immensité de la steppe, l'avidité et la fatuité française précipitent la Grande Armée vers la défaite. Koutousov, en fin stratège, ne fait qu'accompagner la décomposition de l'adversaire. À la suite de plusieurs défaites dues à une totale impréparation, les Français n'ont d'autre choix que de quitter Moscou et de se replier dans le plus grand désordre, harcelés par des groupes de partisans, suivis de près par les troupes russes et abandonnés par leur empereur.

Братья Карамазовы - последний роман Ф. М. Достоевского, который автор писал два года. Роман был напечатан частями в Русском вестнике. Достоевский задумывал роман как первую часть эпического романа "История Великого грешника". Роман был окончен в ноябре 1880 года.

Dirk Pitt, the director of the National Underwater and Marine Agency, is on the Black Sea, helping to locate a lost Ottoman shipwreck, when he responds to an urgent Mayday - "under attack!" - from a nearby freighter. But when he and his colleague, Al Giordino, arrive, there is nobody there. Just dead bodies, a smell of sulfur in the air, and, as Pitt and Giordino explore, a blast from the stern that scuttles the ship swiftly, almost taking them with it.

From the celebrated, award-winning translators of Anna Karenina and War and Peace: a lavish, masterfully rendered volume of stories by one of the most influential short fiction writers of all time.

Anna Karénine est une jeune femme mariée à Alexis Karénine et mère d'un jeune garçon. Elle se rend à Moscou chez son frère Stiva Oblonski. En descendant du train, elle croise le comte Vronski. Anna tombe amoureuse de Vronski, cet officier brillant, mais frivole. Elle lutte contre cette passion et finit pourtant par s'abandonner avec un bonheur coupable. Puis Anna tombe enceinte. Elle décide d'avouer son infidélité à son mari.

The fortunes of the Rostovs and the Bolkonskys, of Pierre, Natasha, and Andrei, are intimately connected with the national history that is played out in parallel with their lives. Balls and soirées alternate with councils of war and the machinations of statesmen and generals, scenes of violent battles with everyday human passions in a work whose extraordinary imaginative power has never been surpassed. The prodigious cast of characters, both great and small, seem to act and move as if connected by threads of destiny as the novel relentlessly questions ideas of free will, fate, and providence.

It is a society that is, officially, a paradise. Superior to the decadent West, Stalin's Soviet Union is a haven for its citizens, providing for all of their needs: education, health care, security. In exchange, all that is required is their hard work, and their loyalty and faith to the Soviet State. But now a murderer is on the loose.

Premier des romanciers modernes, Fiodor Dostoïevski est parmi les plus grands écrivains russes du XIXe siècle. Dans "Les carnets du sous-sol", il fait le récit d'un homme reclus qui depuis son sous-sol observe le monde en contre-plongée. Le narrateur crache ses mots avec aigreur, son refus obstiné du bonheur, déverse ses angoisses et sa haine envers l'humanité. Écrit en 1864, on y retrouve un condensé de la fureur barbare qui fait l'œuvre de l'auteur et les bases des grands romans à venir.

Écrit en 1886, "La Mort d'Ivan Ilitch" est un récit emblématique de l'œuvre de Léon Tolstoï. Un magistrat, très satisfait de lui-même, apprend qu'il est malade, condamné à mourir dans de grandes souffrances. De cette peur primitive et essentielle qu'il éprouve, va émaner en lui une nouvelle conscience du monde et de lui-même. La lucidité va surgir de la douleur et entraîner avec elle l'abandon des vanités humaines.

The renowned fantasy and science fiction writer China Mieville has long been inspired by the ideals of the Russian Revolution, and here, on the centenary of the revolution, he provides his own distinctive take on its history. In February 1917, in the midst of bloody war, Russia was still an autocratic monarchy: nine months later it became the first socialist state in world history. How did this unimaginable transformation take place? How was a ravaged and backward country, swept up in a desperately unpopular war, rocked by not one but two revolutions?

Ce court texte raconte la découverte que fit un jour le barbier Ivan Iakovlievitch dans le pain qu'il s'apprêtait à croquer un matin : un nez. Il cherche à s'en débarrasser, en vain. La police finit par arrêter cet homme qui tente désespérément de se séparer d'un nez. De son côté Kovaliov, assesseur au collège a perdu son nez, il ne reste plus qu'à le lui rendre. Mais le nez semble refuser de retrouver sa place sur la figure de Kovaliov et préfère mener sa propre existence. À travers un récit totalement fantastique et absurde, Gogol dépeint ici des hommes face à leurs angoisses et leurs relations qui ne sont qu'un semblant de raison masquant la folie.