Listen free for 30 days
-
Décadence 2 - Conquêtes et Inquisition 1
- Brève encyclopédie du monde 6.1
- Narrated by: Michel Onfray
- Length: 7 hrs and 8 mins
Failed to add items
Add to Cart failed.
Add to Wish List failed.
Remove from wish list failed.
Follow podcast failed
Unfollow podcast failed
Buy Now for $30.13
No default payment method selected.
We are sorry. We are not allowed to sell this product with the selected payment method
Publisher's Summary
Deuxieme volume de Décadence (première partie)
Avec la conversion de l'Empire romain au christianisme, la multitude de sectes se réclamant de Jésus laisse place à une religion d'État, imposée par le glaive et unifiée par la doctrine. Pour la jeune civilisation judéo-chrétienne, le temps est à la conquête. La philosophie elle-même se met au service de la foi pour expliquer, justifier et transmettre les mystères divins.
Dans ce second volume de Décadence, Michel Onfray nous permet ainsi de naviguer une période souvent connue par l'unique prisme de l'art d'église, et de découvrir les mécanismes de sujétion des corps et des esprits mis en œuvre par une civilisation alors en pleine expansion.
Lola Caul-Futy et Patrick Frémeaux.
À la suite de Cosmos, philosophie de la nature, Décadence propose une philosophie de l'histoire et s'inscrit dans le grand cycle Brève encyclopédie du monde qui s'arrête avec ce dernier coffret.
- Volume 1 L'ici-bas au royaume des cieux ;
- Volume 2 L'ici-bas au royaume des cieux : Questions-réponses ;
- Volume 3 Torturer les corps, torturer les âmes ;
- Volume 4 Torturer les corps, torturer les âmes : Questions-réponses ;
- Volume 5 Un paradis à l'ombre des épées ;
- Volume 6 Un paradis à l'ombre des épées : Questions-réponses ;
- Volume 7 Une esthétique de la propagande.
What the critics say
La presse en parle :
"Une nouvelle philosophie de l'Histoire, en rupture avec la dialectique hégélienne ou le matérialisme marxiste."
Le Nouvel Observateur
"Décadence n'est ni un livre d'histoire ni un manifeste. C'est un roman intérieur. Une impression obsédante sourd de cette symphonie funèbre."
Le Figaro