"Cesse de te laisser emporter par le tourbillon." Ouvrage majeur de la philosophie stoïcienne, les pensées de l'empereur Marc Aurèle furent rédigées entre 170 et 180 ap. JC. Ces pensées apparaissent aujourd'hui comme étant d'une modernité surprenante. Considérées comme une véritable méthode pour atteindre le bonheur, ce chef de guerre, en avance sur ce temps, y démontre que le coaching moderne et la tendance du développement personnel n'ont rien inventé.

À travers les siècles, nombreux sont ceux qui ont recouru au stoïcisme pour surmonter leurs difficultés. Outre les Grecs et les Romains dans l'Antiquité, Frédéric le Grand, Michel de Montaigne, Thomas Jefferson, George Washington, Adam Smith et Théodore Roosevelt figuraient au rang des adeptes de cette école de pensée. Chaque année, l'ancien président américain Bill Clinton étudie les textes de l'empereur romain Marc Aurèle, philosophe stoïcien célèbre. De même, Wen Jiabao, ancien Premier ministre chinois, a lu ses "Pensées pour moi-même" "plus d'une centaine de fois".

Best-seller du Wall Street Journal et USA Today ! Une année avec les stoïciens : le livre qui a déjà conquis plus de 600 000 lecteurs ! Pourquoi les plus grands esprits de l'histoire - de George Washington à Frédéric le Grand, ainsi que Ralph Waldo Emerson, les entraîneurs de football les plus performants d'aujourd'hui, les PDG des meilleures entreprises, et les célébrités - ont-ils adopté la sagesse des anciens stoïciens ?

"L'art de la guerre" est le premier traité de stratégie militaire écrit au monde. Son auteur, Sun Tzu développe des thèses originales qui s'inspirent de la philosophie chinoise ancienne.

Que ce soit les mises en scène sur Instagram, le partage de notre vie privée - ; y compris les moments les plus intimes - ; sur Facebook, ou les émissions de télé-réalités où la caméra n'a d'yeux que pour les candidats les plus scandaleux, notre époque est marquée par la glorification de notre égo. Dans notre vie professionnelle et privée, il est parfois nécessaire de mettre notre égo de côté pour se concentrer sur l'essentiel et d'arrêter de pointer d'un doigt accusateur les éléments extérieurs qui - d'après nous - nous empêchent d'avancer.