Oracle est un suspense psychologique, où l'on suit Nate Russo, un médium du FBI qui aide à résoudre des enlèvements et des homicides en touchant les proches des personnes disparues. Son don unique a toutefois un prix terrible: il voit les moments d'horreur ayant précédé la disparition des victimes. Ce polar captivant, écrit par l'auteur à succès Andrew Pyper, traduit de l'anglais par Cécile Arbus et interprété par Patrice Labbé, combine enquêtes criminelles, éléments surnaturels et intuition.

Quelque chose a été découvert sur Terre, au fond de l'océan. Un ancien artéfact, semblable à une porte géante, encastrée dans le fond marin. Une énigme gigantesque, enfouie et oubliée... dix-neuf mille pieds sous terre. Afin de l'étudier, Maas-Dorian, l'entreprise la plus puissante de la galaxie, a construit tout autour de l'artéfact un immense laboratoire autonome et secret. Le nom de cette base est FATHOM. Son objectif : percer les secrets de l'artéfact et découvrir ce qu'il recèle. Mais certains mystères devraient rester enfouis. Et certaines portes devraient ne jamais être ouvertes.

Sont-elles pires que les hommes ? L'univers des tueurs en série, et tout le fantasme qui entoure ces êtres capables des actes les plus barbares, attire et interroge. Le nombre de séries, de films, de documentaires, de programmes de télévision comme "Faites entrer l'accusé" ou "Snapped", et de livres basés sur ces affaires plus que macabres le montrent. Mais en dépit de cet engouement médiatique, il y a très peu d'ouvrages consacrés aux tueuses en série. Pourtant ces femmes multi-criminelles existent. Un peu moins nombreuses, certes, mais tout aussi tordues que les hommes !

Sauf que Névéna n'est pas une surnaturelle. Les magiciens, les métamorphes, les vampires, il y a quelques jours encore, elle ne savait même pas qu'ils existaient ! Catapultée dans un nouveau lycée, où les humains côtoient les surnaturels sans le savoir, Névéna décide d'enquêter pour découvrir quelle meute a assassiné ses parents. C'est sans compter sur Alejandro Shadow, un loup de son âge plutôt sexy, mais très agaçant, devenu son garde du corps attitré, qui ne cesse de la surveiller.

Le premier livre de Stephen King est un hallucinant roman d’anticipation sur un virus de laboratoire qui se répand pour changer à jamais la face de la planète. Un groupe de survivants cherchent à survivre au milieu du chaos et de la destruction.

Avec la parution de la trilogie de La Bête, David Goudreault a ébranlé le paysage littéraire québécois. Repoussant les limites de l'humour grinçant, il a offert un regard à la fois dur et tendre sur les oubliés de la résilience, grâce à un protagoniste qui, en dépit de sa violence, est touchant de naïveté.

À huit heures vingt-quatre, ce vendredi 12 août 2016, Carl Mongeau émerge du sommeil sans se douter qu''aujourd''hui, sa vie basculera dans un cauchemar paranoïaque. Même si, comme tout le monde, il connaît son lot de petits problèmes et d''irritations diverses, il mène une existence somme toute frappée par les sceaux de la quiétude et de la sérénité, mais dans moins de neuf heures, ceux-ci disparaîtront, et ce, de façon définitive.

Quand Émilie Lavoie (Léane Labrèche-Dor) n’est pas en train de s’occuper de Sous le gui, sa boutique de Noël située dans la pittoresque ville touristique de Val-Daniel, des meurtres locaux, beaucoup moins pittoresques, l’amènent à mener ses propres enquêtes. Le brillant et séduisant détective Sam Magloire (Frédéric Pierre)—qui dissimule bien mal les sentiments qu’il éprouve pour la jeune femme—en viendra à se demander si Émilie n’aurait pas quelque chose à cacher.

Quand Maud Graham est appelée à éclaircir le meurtre d’un homme trouvé gisant dans son sang, seul dans son appartement, elle ne peut se douter des motifs de ce crime. Qui pouvait bien en vouloir autant à cet homme sans histoire? Avec ses coéquipiers - McEwen, Joubert, Nguyen et Rouaix -, la détective avance en plein brouillard, jusqu’à ce que se dessine une toile complexe.

Le cadavre d’une femme est découvert dans son appartement, sa tête remplacée par celle d’un grand chien noir. Parallèlement, une patiente souffrant de schizophrénie paranoïde dessine avec obstination des corps mutilés, munis de parties animales. Des hybrides. Le lieutenant-détective Marc Vézina mène l’enquête, l’obligeant à s’égarer dans les méandres d’un esprit dément et méthodique : celui de la bête originelle.