Bon, c’est assez, les vacances! Catherine est de retour de son congé maternité… pour faire de la peine à Audrey avec ses histoires terribles de femmes qui ont disparu.

Terrebonne, le 15 novembre 1999. Julie Surprenant, une ado de 16 ans, est vue en vie pour la dernière fois alors qu’elle quitte le bus après une soirée dans un centre jeunesse. Un voisin au lourd passé criminel aurait-il quoi que ce soit à avoir avec l’affaire? C’est ce qu’on se demande, encore à ce jour.

Cet épisode était le dernier chapitre dans la série de Catherine consacrée aux cas qui ont contribué à la fondation de l’AFPAD, l’Association des familles de personnes assassinées ou disparues. Pour aider cet organisme à venir en aide aux familles qui en ont besoin, on vous invite à donner généreusement ici.

**Attention, cet épisode parle de violences physiques, psychologiques et sexuelles faites aux femmes.**

Café recommandé en ondes : Bourbon rose par Micro espresso (qu’on remercie chaleureusement!)

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Faites aller vos motos, le 4e et dernier épisode de notre série consacrée à la panique satanique est arrivé!

Le 23 décembre 1985, Ray Belknap et James Vance, deux jeunes hommes du Nevada, décident de s'enlever la vie. Vance survivra toutefois à sa tentative de suicide et affirmera, quelques jours plus tard, que c'est une chanson du groupe de métal britannique Judas Priest qui lui avait donné l'ordre de passer à l'acte.

Une chanson peut-elle réellement inciter quelqu'un à commettre un tel geste? C'est ce dont Ben nous parle dans ce dernier épisode avant les Fêtes et le retour de Catherine.

**Attention, cet épisode comporte des mentions de suicide et de violence domestique**

Café recommandé en ondes : Mano Cornuto

Pour suivre Benoît : URBANIA, blog personnel

Son et montage : Raffaela Szilagyi

Thème d'ouverture et de fermeture : Guillaume Purenne

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**Attention, cet épisode comporte des mentions d'abus sexuels commis sur des enfants. Même si ces accusations se sont avérées fausses, nous comprenons que ce langage peut choquer et nous préférons vous en avertir. Cet épisode traite aussi de misogynie, de violence conjugale et d'homophobie.**

Dans les années 1990, quatre Texanes sont accusées d'avoir agressé les nièces de l'une d'entre elles dans le cadre d'un rituel satanique lesbien. Malgré l'absence de preuves, l'homophobie, la misogynie et la panique satanique allaient sceller le destin des San Antonio 4.

Ressources :

SOS violence conjugale

Le GRIS Montréal

Café recommandé en ondes : Fantôme

Son et montage : Raffaela Szilagyi

Thèmes d'ouverture et de fermeture : Guillaume Purenne

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