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Stefan Zweig's memoir, The World of Yesterday, recalls the golden age of prewar Europe - its seeming permanence, its promise and its devastating fall with the onset of two world wars. Zweig's passionate, evocative prose paints a stunning portrait of an era that danced brilliantly on the brink of extinction. It is an unusually humane account of Europe from the closing years of the 19th century through to World War II, seen through the eyes of one of the most famous writers of his era.

Le cynisme de la boutade aura beaucoup fait pour la fâcheuse réputation de Marie-Antoinette. Des Parisiens affamés, elle aurait dit : "Ils n'ont pas de pain ? Qu'ils mangent de la brioche !" Mot très certainement apocryphe, mais révélateur du portrait de femme futile et débauchée qui fut fait de l'"Autrichienne" après la Révolution.

In the twilight of the Austro-Hungarian Empire, a young cavalry officer is invited to a dance at the home of a rich landowner. There - with a small act of attempted charity - he commits a simple faux pas. But from this seemingly insignificant blunder comes a tale of catastrophe arising from kindness and of honour poisoned by self-regard. Beware of Pity has all the intensity and the formidable sense of torment and of character of the very best of Zweig's work. Definitive translation by the award-winning Anthea Bell.

Le Monde d'hier est l'un des plus grands livres-témoignages de notre époque. Zweig y retrace l'évolution de l'Europe de 1895 à 1941, le destin d'une génération entière d'hommes confrontés plus brutalement que d'autres à l'Histoire et à toutes les "catastrophes imaginables". Chroniqueur de l'Âge d'or européen, Zweig évoque avec bonheur sa vie de bourgeois privilégié dans la Vienne d'avant 1914 et quelques grandes figures qui furent ses amis : Schnitzler, Rilke, Rolland, Freud ou Valéry.

The fame of the The Royal Game is evident in the number of translations. The last work of the Austrian writer Stefan Zweig can be read today in over 60 languages. The first translation into English appeared in New York in 1944. In Germany, the book has become a constant bestseller. The first-person narrator learns of the presence of the world chess champion Mirko Czentovic on a boat trip from New York to Buenos Aires. Together with his acquaintance Mc Connor and other chess players, the first-person narrator manages to challenge the world champion to a game of chess.

"Chess Story," also known as "The Royal Game," is Stefan Zweig's compelling novella that unfolds on a passenger steamer. It narrates the psychological duel between Mirko Czentovic, a chess champion with a mysterious past, and Dr. B, a reclusive genius. Set against the backdrop of World War II, the story explores themes of isolation, obsession, and the struggle for intellectual sanity.

"Il ne savait ni sourire, ni plaire, ni se rendre agréable ; il était en outre incapable d'exposer ses idées avec éloquence". Peu loquace, renfermé, retranché dans son isolement, cet éternel solitaire créait autour de lui une glaciale atmosphère de gêne et de méfiance. Il montera pourtant une expédition avec cinq navires et 250 hommes, sous l'égide du roi Carlos 1er (Charles Quint).

"Le coeur d'un homme dans le corps d'une femme", disait d'elle le pape Benoît XIV. Marie Stuart par Stefan Zweig, c'est l'histoire d'une difficulté scandaleuse, celle des femmes pour exister en politique face aux hommes. Traduction entièrement révisée par Olivier Mannoni et préface de l'historienne Yannick Ripa, spécialiste de l'histoire des femmes.

Scandale dans une pension de famille "comme il faut", sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée.

"The Burning Secret" by Stefan Zweig is a captivating novella that delves into the complexities of human emotions and relationships. Set against the backdrop of an Austrian resort in the early 20th century, the story revolves around a young baron who, in his pursuit of an intriguing woman, unwittingly befriends her young son. This friendship becomes a strategic tool in his quest, leading to an intricate web of deceit, passion, and emotional turmoil.

Si les Vikings ont abordé le continent américain bien avant lui, c'est indéniablement Christophe Colomb qui a ouvert à l'ouest la route d'un "Nouveau Monde". Pourquoi a-t-on utilisé, pour baptiser cette partie du monde, le prénom d'Amerigo Vespucci ? Alors même qu'il s'installe en Amérique, Stefan Zweig reconstitue l'enchevêtrement des circonstances, des hasards, des malentendus qui sont à l'origine de cette étrange erreur.

In this book, Stefan Zweig traces 12 fateful events of world history in his unique artistic style: from the conquest of the Byzantine capital of Constantinople by the Turks, to the Battle of Waterloo to Sir Robert Falcon Scott's tragic South Pole expedition. The human character and sometimes simple fate are decisive historic factors that have led to dramatic and lasting changes in the past. Often short, coincidental and highly dramatic moments have the potential to change the future of mankind in a decisive manner – the so called "Great Moments of Humanity".

Mit den Erinnerungen eines Europäers hat Stefan Zweig seine persönliche, zugleich eine der besten Analysen der Jahrzehnte zwischen dem ausgehenden 19. Jahrhundert und dem 2. Weltkrieg verfasst.

Au soir de sa vie, un vieux professeur se souvient de l'aventure qui, plus que les honneurs et la réussite de sa carrière, a marqué sa vie. A dix-neuf ans, il a été fasciné par la personnalité d'un de ses maîtres ; l'admiration et la recherche inconsciente d'un Père font alors naître en lui un sentiment mêlé d'idolâtrie, de soumission et d'un amour presque morbide.

Qui est cet inconnu capable d'en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu'antipathique ? Peut-on croire, comme il l'affirme, qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans ? Les circonstances dans lesquelles l'homme a acquis sa science du jeu sont terribles. Elles renvoient aux expérimentations nazies sur les effets de l'isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges.

Bored in a semi-deserted Italian hotel, the narrator of this short story spends his days observing the other residents. However, his routine changes when he finally finds a companion: a mysterious elderly gentleman who is willing to share an idea for an exciting novel... Throughout his writing career, Stefan Zweig showed great interest in psychology and, in particular, in the work of Sigmund Freud. This fascination with human nature led Zweig to create complex portraits of his characters and, as a result, works that continue to captivate readers for generations.

Da novellen Amokløper/Amok utkom i 1922, var begrepet ”amok” fremdeles et ukjent begrep. Zweig lånte det fra indonesisk kultur, hvor det beskriver en tilstand der en person angriper en fiende i blindt raseri og forsøker å drepe både fienden og alle andre som står i veien. Som mange av Zweigs verker har Amok/Amokløper en psykologisk bakgrunn. Den handler om en leges ekstreme besettelse og forfølgelse av en kvinne som er blitt gravid utenfor ekteskapet og som nå vil ha legen til å utføre en abort.

À bord d'un paquebot qui relie New-York à Buenos Aires, la présence d'un champion du monde d'échecs intrigue, de réputation rustre et vénal, Mirko Csentovic serait doué uniquement devant un échiquier. Durant cette longue traversée le narrateur, amateur d'échecs, décide d'organiser des parties afin d'observer le personnage. Un inconnu, discret et élégant intervient alors et met en difficulté le maître, comment a-t'il aquis un telle maîtrise du jeu ? Stephan Zweig écrit cette longue nouvelle alors qu'il fuit le nazisme.

Joseph Fouché (1759-1820) est l'une des figures les plus énigmatiques de son temps. Il a servi avec zèle la République, le Directoire, le Consulat, l'Empire et la Monarchie. Homme de l'ombre, disciple de Machiavel, Fouché aura survécu à tous les changements de régime sans jamais se départir de cette "absence de conviction" qui fascina Balzac autant que Stefan Zweig. Élève chez les Oratoriens, il devint sous la Révolution un pilleur d'églises. Conventionnel modéré, il vota la mort du roi et participa activement au massacre des Lyonnais royalistes.

In this volume we examine the German language. Or rather the authors who wrote in German but are here translated into English. German is most often called the language of philosophers due to its precision and clarity. However, if you’ve studied German, you will know that sentence construction can be difficult to grasp. However, within these stories the language of these great talents express themselves in dazzling prose and searching narratives. And the characters? Clearly the works of genius.