Arts de la scène

C’est l’histoire d’une petite fille trop sensible nommée Mariana, mais aussi un touchant hommage à l’univers qui l’a définie : le quartier où elle a vécu, les familles immigrantes qu’elle a côtoyées, les enseignants qui l’ont inspirée, et aussi les lieux enchanteurs (pour une enfant) qu’elle a fréquentés, tels le Club argentin, le cinéma Langelier et le marché aux puces Cinq étoiles. Fille d’immigrante, Mariana Mazza brosse un portrait de son enfance dans le Montréal-Nord des années 1990 à la fois sombre et lumineux, chaotique et chaleureux. Sa mère s’en mêlera, comme d’habitude.

Caroline, Katia et Vicky s’envolent pour Las Vegas avec leurs amoureux, afin de profiter au maximum du long week-end de Pâques. Tous explorent les extravagances de la cité aux mille tentations dans la plus grande harmonie conjugale, jusqu’à ce qu’ils décident spontanément de souligner l’enterrement de vie de célibataire d’un des couples, qui se mariera à l’automne.

Seize auteurs aux styles variés osent une incursion dans la littérature érotique.

S'il existe un homme que la vendeuse et photographe amateur, Diane Petit, déteste plus que tout, c'est le grand fabricant de parfums, Sébastien Darcy, qui a non seulement volé l'entreprise du père de Diane, mais également détruit sa santé. Mais l'arrogant salaud ferait mieux de se méfier parce que Diane prépare sa vengeance. Et la vengeance est un plat qui se mange froid. Mon meilleur ennemi est une comédie romantique inspirée de Orgueil et préjugés.

Boss en jupon. Reine des glaces. Ce sont mes surnoms au bureau. Mais il y a un homme qui me fait fondre en secret depuis des années. Kaede McWarren. Le seul problème ? C'est le meilleur ami de mon grand frère. Et quand il me demande de jouer sa fiancée pour conclure un contrat d'affaires ? Je ne boude pas mon plaisir et je me lance tête baissée dans la combine. Il a tout pour plaire, grand, beau et intense... avec un petit côté mystérieux et un esprit vif comme je les aime. Il représente tout ce que je désire. Tout ce dont j'ai besoin.

Retour à la case départ. Après des années de galère, Renton, Begbie, Sick Boy et Spud se retrouvent dans le huis clos froid et pluvieux d'Édimbourg. Le crack, la misère et les coups foireux sont au rendez-vous, mais la rage de vivre demeure. Avec Nikki, une étudiante invraisemblablement belle et hantée à l'idée de vieillir, ils décident de s'en sortir en produisant... le porno du siècle.

Alice est une rêveuse pour qui la vie est bien décevante: elle n’a pas de bon emploi, pas de belle maison et, surtout, pas de chum. Une nuit, elle rêve de l’homme idéal. Et la nuit suivante, et les autres nuits encore. C’est ridicule, elle le sait, mais, peu à peu, elle tombe amoureuse. Le problème: les membres de sa famille sont impatients de faire la connaissance de son nouveau «copain».

"Sortez-moi de là !" est le sixième roman de Sonia Dagotor. Je me prénomme Madeleine. Je sais, c'est un prénom d'une autre époque et encore, vous ne savez pas tout ! Je viens de perdre ma mère avec qui je vivais dans notre maison en Auvergne. Ma mère a toujours décidé pour moi, mais rassurez-vous, je ne lui en veux pas. Même après sa mort, elle me commande encore. Sa dernière trouvaille, m'envoyer à Paris ! Pour une nana qui n'a jamais quitté son village natal, c'est une petite révolution. Mais je suis prête. Il était temps de me sortir de là.

Lucien est mort. "C'est bien triste" se lamentent au bar du coin ses quatre copains. Pire encore : il a été retrouvé froid sur ses toilettes, lui qui ne s'était jamais montré négligé en public ! Martial, Gilbert, Jacques et Armand sont unanimes : pas question de clamser aussi bêtement ! La bande de septuagénaires a alors une idée folle : chacun va planifier sa propre mort. Quand ils veulent, comme ils veulent ! Enfin, ils vont tout oser.

Quelques années ont passé... On a vieilli, un peu, on a aimé, beaucoup ! Mais voilà, depuis quelques temps, la Foune se barre en vrac. Son trip écolo à fond les cartons a légèrement dérapé et elle nous est revenue dans un état proche de l'Ohio... Touffe et moi, hyper inquiètes, nous sommes données comme objectif de la sortir de son état léthargique à faire pâlir d'envie un panda neurasthénique. Mais, vous nous connaissez, les choses ne se sont pas vraiment passées comme prévu.

Je m'appelle Poppy Woodstock. Auteure de romance et fervente adepte des fins heureuses de contes de fées. La seule chose qui devrait m'inquiéter, dans la vie, c'est mon angoisse chronique de la page blanche. C'est alors que je tombe nez à nez avec lui (au premier sens du terme) et me perds dans les yeux bleus les plus splendides que j'aie jamais vus.

Vous connaissez l'éternelle demoiselle d'honneur qui ne se marie jamais ? C'est aussi vrai pour la fleuriste. Ce mariage pour lequel je travaille s'accompagne d'une semaine de rêve au paradis. Avec le soleil, le sable et la mer, le boulot paraît tout de suite beaucoup moins difficile. Du moins, c'était ce que je pensais avant que ce rêve devienne un cauchemar. Quand mon ennemie jurée débarque, je m'attire des ennuis avec ma grande gueule, et tout à coup, je dois faire semblant d'être en lune de miel. Quant à mon "mari", c'est encore pire. Lorenzo Toscani.

Quand Samantha accepte l’invitation à une soirée organisée par quatre filles un peu sinistres, elle plonge sans le savoir dans un monde inquiétant, entre le conte de fées et l’histoire d’horreur.

Après une dernière frasque qui a failli les détruire, elle et la réputation durement gagnée de sa famille, Alexia Myers, étudiante, décide de reprendre sa vie en mains. Transférée dans une nouvelle université, loin de tout ce qu'elle connaît, elle s'applique à être tout le contraire de ce qu'elle était auparavant. Une nouvelle - et meilleure - version d'elle-même. Lorsqu'elle rencontre Asher, Lexi fait tout pour le garder à distance : son ancienne vie est derrière elle.

Il a besoin d'une femme. J'ai besoin d'un mari. Ce n'est que provisoire... qu'est-ce qui pourrait mal tourner ? J'ai toujours voulu un mariage de conte de fées. Pas pour la robe de princesse parfaite ni pour la grande fête, mais pour Papi. Mon grand-père. La seule figure paternelle que je n'aie jamais connue. Sur son lit de mort, il fait le souhait que je remonte l'allée à son bras. Non, non, pas de pression ! Je peux bien lui accorder ce souhait.