• Écouter le monde

  • Auteur(s): RFI
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Écouter le monde

Auteur(s): RFI
  • Résumé

  • Tout à la fois chronique radiophonique diffusée chaque vendredi dans l'émission "8 milliard des voisins" et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d'épisodes sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès sur la Carte des sons.

    Auteure et coordinatrice d’Écouter le monde, Monica Fantini compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise ou encore récits d'écoutes de personnes de langues, de milieux et d’âges différents…Autant d’éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.

    De leur collecte à la création d’œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d’artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l’ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l’écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s’adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d’Écouter le monde font régulièrement l’objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d’expositions, de colloques et d’événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d’Écouter le monde.

    France Médias Monde
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Épisodes
  • Les sons pour le dire – Cri
    Jan 17 2025

    Il peut venir du cœur ou être harangue de vendeurs ambulants dans les rues du Paris d’antan. Mais comment résonne le cri à Tokyo ? Ryoko Sekiguchi, écrivaine et traductrice, convoque les souvenirs de son pays natal, le Japon.

    Ryoko Sekiguchi, née à Tokyo en 1970, vit à Paris depuis plus de 20 ans. Auteure de livres en français et en japonais, traductrice et poétesse, elle organise aussi des événements reliant littérature et cuisine. Parmi ses ouvrages aux éditions P.O.L : 961 heures à Beyrouth (2021), Le Club des Gourmets et autres cuisines japonaises (2019), Nagori (2018),La voix sombre (2015).

    Le cri du cœur se traduit en japonais, et c’est vraiment littéral, par : le cœur qui crie. C’est fort, c’est comme si on entendait le cœur crier.

    Tous les épisodes de la série

    La série « Les sons pour le dire » réunit six épisodes d’« Écouter le monde », consacrés au vocabulaire sonore en plusieurs langues. Comment traduit-on craquement en yoruba, souffle en persan, murmure en arabe, silence en roumain, fracas en espagnol ou cri en japonais ? Et quelle signification, commune ou différente, portent ces mots dans ces langues ? À l’écoute d’interlocuteurs bilingues, Monica Fantini propose une petite exploration poétique de sons et de sens.

    • Les sons pour le dire – Souffle
    • Les sons pour le dire – Cri

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  • Les sons pour le dire – Souffle
    Jan 10 2025

    Du premier au dernier, le souffle, c’est la vie et sa fragilité, le son présent de l'âme et de l'esprit. Mais en persan, c’est aussi l’amour. Née à Kaboul, en Afghanistan, la journaliste, traductrice et enseignante Khojesta Ebrahimi partage la douceur qui infuse le mot « souffle » dans sa langue maternelle.

    Khojesta Ebrahimi est journaliste à RFI et enseignante à l’Inalco (‎Institut national des langues et civilisations orientales). Elle a aussi traduit deux livres Sous le ciel de Kaboul − Nouvelles de femmes afghanes (Editions Le Soupirail, 2018) et Une petite vie de Khosraw Mani (Intervalles éditions, 2018).

    En persan, lorsqu'on veut dire à quelqu’un qu’on tient beaucoup à lui, on lui dit : tu es mon souffle

    Tous les épisodes de la série

    La série « Les sons pour le dire » réunit six épisodes de « Écouter le monde », consacrés au vocabulaire sonore en plusieurs langues. Comment traduit-on craquement en yoruba, souffle en persan, murmure en arabe, silence en roumain, fracas en espagnol ou cri en japonais ? Et quelle signification, commune ou différente, portent ces mots dans ces langues ? À l’écoute d’interlocuteurs bilingues, Monica Fantini propose une petite exploration poétique de sons et de sens.

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  • Les sons de l'exil
    Dec 19 2024

    De Dakar à Venise, l’artisan souffleur de verre Moulaye Niang se souvient des sons d’ici et des sons d’avant. De l’Afrique à l’Europe, du Sénégal à l’Italie, il évoque les parcours sonores de sa vie.

    Tout à la fois émission de radio diffusée chaque dimanche dans le journal d’information de RFI et plateforme participative, Écouter le monde donne à entendre les cultures, les langues et les imaginaires du monde à travers des sons d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe ou d'Océanie. Des centaines d’émissions sont à écouter en podcast sur ce site, tandis que la plateforme participative et évolutive propose des cartes postales sonores et des enregistrements. À ce jour, 245 captations sonores sont disponibles en libre accès.

    Auteure et coordinatrice d’Écouter le monde, Monica Fantini écoute, enregistre et compose des pièces sonores à partir de sons du quotidien : claquement des portillons du métro parisien, harangues des vendeurs au marché de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso, craquement des glaciers en Patagonie, roulement des calèches dakaroises ou encore cloches de la place Saint-Marc à minuit à Venise, voix de poètes… Autant d’éclats de vie avec lesquels elle tisse des récits pour raconter le monde, créer des liens et partager des savoirs.

    De leur collecte à la création d’œuvres sonores et à leur diffusion, Monica Fantini sollicite la collaboration d’artistes, de chercheurs, compositeurs, journalistes et écrivains, afin de fédérer une large communauté et de mettre en commun expériences et savoirs dans différentes approches du son. Avec l’ambition de développer la pratique, le sens et le plaisir de l’écoute, elle dirige aussi des ateliers sonores s’adressant à tous les publics : enseignants, enfants, étudiants, migrants, détenus, poètes, musiciens… Enfin, les créations sonores d’Écouter le monde font régulièrement l’objet de présentations publiques dans le cadre de festivals, d’expositions, de colloques et d’événements culturels dédiés, imaginés par les auteurs de la plateforme. Tous les ans, la Bibliothèque nationale de France laisse ainsi carte blanche à Monica Fantini autour d’Écouter le monde.

    Équipe de production

    Prise de son, montage, mixage : Monica Fantini

    Aide au mixage : Laurence Allanic et Pascal Boungo – Unité de création

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