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Le Monde d'hier est l'un des plus grands livres-témoignages de notre époque. Zweig y retrace l'évolution de l'Europe de 1895 à 1941, le destin d'une génération entière d'hommes confrontés plus brutalement que d'autres à l'Histoire et à toutes les "catastrophes imaginables". Chroniqueur de l'Âge d'or européen, Zweig évoque avec bonheur sa vie de bourgeois privilégié dans la Vienne d'avant 1914 et quelques grandes figures qui furent ses amis : Schnitzler, Rilke, Rolland, Freud ou Valéry.

SINISTRES TROPIQUES ! Ce recueil rassemble 5 récits de crime exotique cultes de la littérature classique : - Amok, Stefan Zweig - Le bouddha vivant, H.J Magog - Dans le ventre d'Huitzilipochtli, Gustave Le Rouge - Une histoire contée par la mer, William Charles MORROW - Le Chameau noir, Earl Derr BIGGERS

Stefan Zweig's memoir, The World of Yesterday, recalls the golden age of prewar Europe - its seeming permanence, its promise and its devastating fall with the onset of two world wars. Zweig's passionate, evocative prose paints a stunning portrait of an era that danced brilliantly on the brink of extinction. It is an unusually humane account of Europe from the closing years of the 19th century through to World War II, seen through the eyes of one of the most famous writers of his era.

In the twilight of the Austro-Hungarian Empire, a young cavalry officer is invited to a dance at the home of a rich landowner. There - with a small act of attempted charity - he commits a simple faux pas. But from this seemingly insignificant blunder comes a tale of catastrophe arising from kindness and of honour poisoned by self-regard. Beware of Pity has all the intensity and the formidable sense of torment and of character of the very best of Zweig's work. Definitive translation by the award-winning Anthea Bell.

Scandale dans une pension de famille "comme il faut", sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée.

"Chess Story," also known as "The Royal Game," is Stefan Zweig's compelling novella that unfolds on a passenger steamer. It narrates the psychological duel between Mirko Czentovic, a chess champion with a mysterious past, and Dr. B, a reclusive genius. Set against the backdrop of World War II, the story explores themes of isolation, obsession, and the struggle for intellectual sanity.

"Il ne savait ni sourire, ni plaire, ni se rendre agréable ; il était en outre incapable d'exposer ses idées avec éloquence". Peu loquace, renfermé, retranché dans son isolement, cet éternel solitaire créait autour de lui une glaciale atmosphère de gêne et de méfiance. Il montera pourtant une expédition avec cinq navires et 250 hommes, sous l'égide du roi Carlos 1er (Charles Quint).

Qui est cet inconnu capable d'en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu'antipathique ? Peut-on croire, comme il l'affirme, qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans ? Les circonstances dans lesquelles l'homme a acquis sa science du jeu sont terribles. Elles renvoient aux expérimentations nazies sur les effets de l'isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges.

Reine d'Écosse six jours après sa naissance en 1542, mariée à François II et reine de France à dix-sept ans, veuve un an après, remariée à lord Darnley, amante du comte de Bothwell qui tuera Darnley, réfugiée auprès d'Elisabeth Ire qui la gardera captive pendant vingt ans, décapitée en 1587 pour s'être laissé prendre au piège d'une conspiration : Marie Stuart est l'une des figures les plus romanesques, les plus tragiques de l'histoire.

"The others form the human being, I depict him; and here I present an individual who is quite poorly formed and whom I would certainly make largely differently if I had to reshape him. But now that's the way he is." This phrase from the famous essays of Michel de Montaigne outlines the character of the author and his work. Montaigne wrote his essays not from a position of certainty but from an awareness of his inadequacy. He thus reveals a level of critical self-reflection that, before his time, was rarely put on paper.

Mit den Erinnerungen eines Europäers hat Stefan Zweig seine persönliche, zugleich eine der besten Analysen der Jahrzehnte zwischen dem ausgehenden 19. Jahrhundert und dem 2. Weltkrieg verfasst.

The fame of the The Royal Game is evident in the number of translations. The last work of the Austrian writer Stefan Zweig can be read today in over 60 languages. The first translation into English appeared in New York in 1944. In Germany, the book has become a constant bestseller. The first-person narrator learns of the presence of the world chess champion Mirko Czentovic on a boat trip from New York to Buenos Aires. Together with his acquaintance Mc Connor and other chess players, the first-person narrator manages to challenge the world champion to a game of chess.

Hofmiller, un oficial de la caballería austrohúngara, es invitado a una fiesta en la casa de un rico terrateniente Kekesfalva, lo que le lleva a un mundo completamente distinto del de su rutina cuartelaria habitual: se encuentra en un entorno glamuroso, donde el vino fluye libremente y acaba estimulándole, a pedir a la bella hija de su anfitrión que baile con el. Sin embargo para su horror descubre que la joven es inválida. Esta torpeza inconsciente va a ser el comienzo de la pérdida del respeto hacia sí mismo.

Eine Liebesgeschichte in Andeutungen, gesehen mit dem Blick eines Zwölfjährigen. Der zwölfjährige Edgar ist mit seiner Mutter der Gesundheit wegen auf den Semmering gefahren. Dort begegnen sie einem jungen Baron, in dem Edgar bald einen Freund gefunden zu haben glaubt. Doch schnell muss er erkennen, dass dessen Freundlichkeit nicht ihm, sondern vielmehr der Mutter gilt.

En compagnie de Dickens et Dostoïevski, Zweig distingue Balzac dans cette biographie unitaire qui vise à montrer les trois grands et, peut-être les seuls romanciers du XIXe siècle, comme des "hommes" qui, précisément à cause des contrastes entre les personnages se complètent et élèvent le concept de romancier, de créateur épique d'un monde en mouvement.

Médecin européen exilé dans une contrée reculée et tropicale depuis sept ans, la visite d'une anglaise élégante et fière subjugue l'homme et déstabilise le médecin. Elle sollicite un service délicat, une "affaire de femme" et propose une belle somme mais l'homme est blessé. Elle part. Comment réparer son refus ? Il se lance maladroitement à sa poursuite. Il racontera la suite de son aventure sur le bateau qui les ramène en Europe.

Le cynisme de la boutade aura beaucoup fait pour la fâcheuse réputation de Marie-Antoinette. Des Parisiens affamés, elle aurait dit : "Ils n'ont pas de pain ? Qu'ils mangent de la brioche !" Mot très certainement apocryphe, mais révélateur du portrait de femme futile et débauchée qui fut fait de l'"Autrichienne" après la Révolution.

Stefan Zweig schildert das Leben Marie Antoinettes von ihrer Kindheit in Österreich bis zu ihrer letzten Nacht in Versailles in Frankreich. Einfühlsame und detaillierte Beschreibungen zeigen die "Königin des Rokokos" als sorglos-heitere junge Frau, die auf unzähligen durchtanzten Maskenbällen alle Pflichten einer Königin vergisst. "Wo aber die an den Augenschein streng gebundene Forschung endet, beginnt die freie und beschwingte Kunst der Seelenschau.

Ein überreiches Potpourri deutscher Literatur erwartet die Hörerschaft, mit Meisterwerken aus vielen Jahrhunderten. Die vorliegenden zwanzig Erzählungen, Novellen oder Geschichten künden vor allem von der Freude am Erzählen. Mit dabei: Joseph Roth (Stationschef Fallmerayer), Marie von Ebner-Eschenbach (Krambambuli), Wolfgang Borchert (Die Hundeblume), Kurt Tucholsky (In der Hotelhalle), Friedrich Glauser (Verhör), A.J. Mordtmann (Der Untergang der Carnatic), Franz Kafka (Blumfeld, ein älterer Junggeselle), Johann Peter Hebel (Unverhofftes Wiedersehen), Wilhelm Hauff (Das kalte Herz).

Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. L'être aimé objet d'une admiration infinie mais lucide. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie.