French Canadian Fiction

C'est pas moi, je le jure?! étonne par sa fraîcheur et sa verve, par sa vision du monde de l'enfance, par son imaginaire débridé. À trente-neuf ans, soit l'âge qu'aurait aujourd'hui son petit héros, l'auteur est manifestement resté très près de ses premières années. - Marie-Claude Fortin, Voir

Des bûcherons assoiffés d’émotions fortes. Des drogues dures qui ont remplacé le petit rhum. Un Mal que l’entendement ne peut comprendre ou une hallucination qui entremêle les pensées? Des êtres sans visages ou des têtes sans conscience? Lisez bien. Regardez bien. Là ! Est-ce le diable que vous avez vu? Hélas, ces choses de l’abîme peuvent prendre bien des visages, selon le regard qu’on leur jette.

True crime, dark Web, catfish, conspiration, disparition, creepypasta, cyberintimidation et légende urbaine à donner froid dans le dos… Distorsion est une baladodiffusion québécoise qui passionne les amateurs d'histoires étranges. C'est maintenant aussi un livre fascinant qui réunit 13 récits ayant enflammé l'imagination des internautes.

Des générations de person­nages, coincés par les normes sociales, testent tour à tour les limites de la décence. Mais entre le tabou et l’acceptable, la frontière n’est pas aussi claire qu’on aimerait le croire.

En tant qu’influenceuse Web particulièrement populaire, Magali reçoit régulièrement des cadeaux. C’est d’ailleurs ce qui lui permet de bien gagner sa vie! Toutefois, le jour où elle réalise que certains d’entre eux proviennent d’un admirateur secret, elle tente de découvrir qui est cet amoureux anonyme qui se cache derrière d’étranges colis. Plus le temps passe, et plus le mystère s’épaissit.

La pièce Les belles-sœurs de Michel Tremblay est née le 4 mars 1968 lors d'une lecture publique dans un minuscule théâtre de la métropole. Cinquante ans après sa création, le journaliste Mario Girard raconte l'histoire qui a entouré la naissance de cette oeuvre majeure de la dramaturgie québécoise. À partir de témoignages, de documents d'archives et de photographies, on découvre comment, un jour de 1965, l'idée est venue au jeune Tremblay d'écrire une pièce en joual rassemblant 15 femmes dans une cuisine autour d'un million de timbres-primes Gold Star.

À l’été 2001, un squelette apparaît à l’orée d’un petit bois, à quelques pas de l’Hôpital Royal Victoria à Montréal. Une enquête s’amorce, qui deviendra une quête: découvrir l’identité de cette femme morte sans bruit. Mais toutes les pistes mènent à l’impasse; celle qu’on a baptisée Madame Victoria continue d’attendre que quelqu’un prononce son nom.

Loïc regarde autour de lui. Ce qu’il découvre alors lui coupe littéralement le souffle: le Westfalia a disparu. Pire encore, sa maison n’est plus là. À sa mort, Papi Georges lègue aux membres de sa famille bien peu de choses: une boîte de photos, une vieille carte géographique, un pendentif, une boîte de cossins et… son vieux Westfalia 1975. Mais lorsque Loïc, 14 ans, découvre que dans le vieux West se cache un portail temporel, les vacances qui s’annonçaient ennuyantes prennent une tournure pour le moins inattendue.

Lorsqu’Olivia, loyale employée d’une grande entreprise, apprend qu’un poste en communication est créé à l'interne, elle se sent interpellée. « C’est pour moi, ça ! » Cependant, sa patronne tient à ce que ce soit un homme qui occupe le poste.

Wapke - « demain » en langue atikamekw - est le premier recueil de nouvelles d''anticipation autochtone publié au Québec. Quatorze auteurs de nations et d''horizons multiples se projettent dans l''avenir par le biais de la fiction, abordant des thèmes sociaux, politiques et environnementaux d''actualité. Sous la direction de Michel Jean, Wapke offre un commentaire social souvent saisissant où se dessine l''espoir d''un changement.

Alors que les années 1960 tirent à leur fin, bonheurs et chagrins continuent de se multiplier à la Place des Érables. Agathe, la coiffeuse du quartier, tente de surmonter les pénibles conséquences des frasques de son Rémi et de limiter les commérages à son sujet. Autant essayer de calmer les poules dans une basse-cour!

Rue Notre-Dame, le temps passe. À la radio, on écoute Un homme et son péché, et la mystérieuse télévision fait son apparition dans les vitrines des magasins. Fidèle à lui-même, Maurice s'emporte à tout moment. Jeanne, elle, se réfugie au presbytère.

Au moment de réunir les nouveaux Écuyers et leurs maîtres, Wellan s'aperçoit non seulement qu'il n'y a pas suffisamment de Chevaliers, mais que plusieurs d'entre eux ont déjà des apprentis. Afin de lui venir en aide, Jenifel, Lassa et Liam utilisent un vieux sortilège qui perturbera grandement la vie des habitants du château. Les Chevaliers se remettent à peine de toute l'agitation causée par les jeunes étourdis lorsqu'ils doivent affronter un nouvel ennemi en provenance du ciel. Pourront-ils se défendre contre les dieux déchus?

Les enfants quittent l'un après l'autre la maison familiale. Il y a les Jeux olympiques de 1976, le scandale du docteur Morgentaler, le référendum de 1980 ainsi que la retraite, la maladie et les colères de Maurice. La vie suit son cours, inévitablement.

À l’aube de ses quinze ans, Aurélie a décidé de devenir plus mature. Pendant qu’Aurélie se prépare à écouter gazouiller les moineaux et à observer la danse nuptiale des vers de terre tout l’été (déprimant!), elle ne peut imaginer les péripéties qui l’attendent....

La série Place des Érables continue de s’agrandir comme une famille du bon vieux temps! Ce cinquième tome nous tire chez monsieur Méthot, propriétaire du magasin de variétés voisin de la pharmacie Lamoureux. Parions que, de chez lui aussi, toute la vie du quartier est à portée de vue et de voix... Pour notre plus grand plaisir!

Voici l’histoire de Victoire Du Saut, fondatrice de la cordonnerie à l’origine de la fortune de la famille Dufresne, bien connue des Montréalais pour l’imposant manoir qui porte son nom dans le quartier d’Hochelaga-Maisonneuve. Cette grande fresque historique et familiale est propulsée par la vision et l’audace d’une femme de tête. S’y mêlent les émois d’une idylle impossible, les dangers d’un sulfureux triangle amoureux, et les effets d’un bouleversant secret de famille qui ne laissera personne indemne.

Montréal, 1935. Dans le quartier ouvrier de Maisonneuve, la pauvreté règne, et le chômage est le pain quotidien des miséreux. La famille nombreuse de Théodore Sansoucy s'entasse dans un logement au-dessus de son épicerie-boucherie avec les sœurs de sa femme, Émilienne. Irène, l'aînée, est la vieille fille sage de la maisonnée. Léandre, forte tête, et Marcel, étudiant peu talentueux, entretiennent des relations tendues avec leur patron de père.

Il s’est assis là où se rendaient les vagues pour observer la danse singulière des particules. Elles avaient un comportement plus animal que minéral. Il était facile de leur prêter une volonté: déplier le plus loin possible, en longues traînées, leur chatoiement bizarre. Saisi par le phénomène, Goyette n’a pas reculé. Le fleuve lui est rentré dans les souliers, dans les pantalons, dans la raie. C’était froid, et de plus en plus magnifique.

Après dix-huit mois de confinement, Catherine essaie de sortir de sa tanière pour se rouvrir à l’amour. En l’absence de ses habituelles alliées, prises parleur propre cheminement, Catherine devra plonger en elle-même pour y trouver les réponses. Un flirt au boulot, c’est oui ou c’est non? Une nouvelle chance avec Félix? Et s’il valait mieux prendre de la distance et accepter une offre de voyage au bord de la mer pour y voir clair et qui sait? Peut-être même trouver l’amour.